Lors d’un pèlerinage à Assise, en Ombrie, j’ai visité comme tous les pèlerins la basilique de Sainte Marie des Anges, et je suis rentrée me recueillir dans la minuscule chapelle - la Porziuncola - que François avait bâtie à mains nues et où il avait voulu mourir, à même la terre battue, en ce lieu où tout avait commencé, où, encore jeune chevalier épris d’aventures, il avait entendu l’appel du Christ et avait tout quitté pour Le suivre.
Dans cette chapelle j’ai prié et ressenti une chaleur incroyable, c'était comme si tous mes péchés se consumaient d’un seul coup dans ce foyer ardent d’amour et de pardon.
De retour en France, j’ai eu à coeur de témoigner de cette terre sacrée, l’Ombrie, auprès de mes compatriotes sur les ondes de radio Ecclesia de Nîmes, puis sur RCF à La Rochelle.
Un éditeur parisien s’est alors intéressé à mes carnets de voyage et un livre « Saint François d’Assise, prêcheur pour un monde bienheureux » en est né ( Lanore 2010)
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